L’appel du 26 juin. A l’assaut de Tikal !

par | 27 Juin 2015 | Inspiration - Humeur | 0 commentaires

Date de dernière mise à jour : le 29 juillet 2018

26 juin, 4 h du matin !

Le réveil sonne.

C’est le Jour J ! Oui bon, enfin l’un des nombreux “Jours J” que l’on va croiser… Mais celui-ci est d’autant plus important que c’est le début de notre Histoire à 3 ! On va chercher notre futur chez nous sur roues !

Tous en Suisse

Départ donc pour l’aéroport et direction Genève. Tikal a beau avoir un p’tit nom Maya, il a vécu en Suisse quelques temps…

Les Alpes, vues de l'avion

Les Alpes vues de l’avion

On récupère la bête !!!

Tikal dans un champ

The return

On passe ensuite les douanes sans aucun problème (c’est important à noter pour la suite des événements) et à 12h, c’est parti pour 490 km. On décide de prendre les petites routes et de profiter du paysage.

Dit comme ça, on voyait un retour en maximum 6h, et arriver pour le barbecue…

Mais c’était sans compter les 90 km/h max du p’tit gros et… le “petit pépin” sur la route ! (si tu remplaces quelques lettres à “petit pépin” ça fait “bonne petite galère légèrement stressante pour deux novices en mécanique“) 🙂

On déjeune sur le chemin puis petite pause pour admirer le paysage :

Tikal devant un beau lac vert

Passage au-dessus de l’Ain

Le temps et magnifique et on aurait presque envie de passer la nuit sur place… Mais soyons raisonnables, Tikal ne s’est pas fait en 1 jour ! Et puis on n’a fait que 100 km, il faut avancer (oui enfin pas trop vite, on vient de suisse quand même…).

Un problème ?

Direction donc Paris en passant par la case station service. (Le petit ne roule pas bien vite mais il consomme un peu quand même!)

On va se dégourdir les papattes parce, qu’il reste encore quelques 200 km.

Et là c’est le drame. Grosse fuite sous le camion !

Ce n’est pas de l’huile (à première vue) et le voyant de température s’allume… nos neurones s’entrechoquent et les gros mécanos qui sommeillent en nous se disent que c’est donc… du liquide de refroidissement.

Tikal, le capot ouvert

La bête… asséchée

On repart donc tant bien que mal, après avoir remplacé le liquide de refroidissement par de l’eau froide (oui bon alors maintenant on sait que c’est tout caca pas beau de faire ça parce que tu peux faire bobo à plein d’autres trucs dans l’intérieur du camion… mais sur le coup on n’y réfléchit pas trop. On ne le refera plus, promis !)

Il est 19h30. Il reste 200 km. Le barbecue s’éloigne…

On repart, le chauffage à fond (histoire de refroidir les ardeurs de la bête) et après 3 autres arrêts (et quelques litres d’eau), on arrive enfin.

Il est 22h45 !

Le lendemain on prévoit donc de voir d’où vient cette petite fuite mais pour l’heure, Tikal n’a plus soif et nous on a bien mérité notre bière !!

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